Les liens invisibles qui lient le globe ont été plus évidents cette année, car la pandémie de COVID-19 a mis à rude épreuve les réseaux commerciaux et mis au défi le transport des marchandises. En effet, une étude suggère que sept Canadiens sur dix disent en avoir appris davantage sur les chaînes d’approvisionnement cette année, car ils ont fait face à des pénuries de médicaments, d’équipement de protection individuelle, de désinfectant pour les mains et même d’articles ménagers comme le papier hygiénique.
Une nouvelle étude de l’Institut Angus Reid, en partenariat avec Le Centre pour le transport maritime responsable Clear Seas, se concentre sur l’avenir et constate que les Canadiens recherchent que l’industrie joue un rôle majeur dans la reprise économique post-pandémique, tout en continuant à faire des progrès dans la protection de l’environnement.
Deux Canadiens sur cinq affirment que l’aspect économique de cette équation est primordial, tandis qu’un quart (23%) disent que les aspects environnementaux sont essentiels. Au milieu se trouve le groupe le plus important – 37% – qui estime que l’équilibre entre les deux est la meilleure façon de procéder.
L’industrie du transport entre dans une autre année de défis probables avec des cotes positives de la plupart des Canadiens. S’appuyant sur ce qui est maintenant une tendance de cinq ans, quatre résidents sur cinq disent avoir une vision favorable du transport maritime. De plus, plus de la moitié (54%) disent que l’importance de l’industrie a augmenté au cours des 15 à 20 dernières années selon leurs estimations. (photo Administration portuaire de Montréal)