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Reprise des négociations entre les débardeurs de Montréal et les employeurs maritimes

Après un arrêt de travail de six jours plus tôt ce mois-ci, les débardeurs et les employeurs maritimes du port de Montréal doivent reprendre des négociations qui sont depuis longtemps dans l’impasse pour une nouvelle convention collective. En vertu de l’entente « consensuelle » annoncée aujourd’hui, les deux parties ont fixé une période de 90 jours pour le processus de négociation, suivie d’un arbitrage exécutoire.

Le négociateur fédéral chevronné Gilles Chartrand supervisera les pourparlers. Et les deux partis ont convenu de ne pas faire de déclarations publiques sur les progrès de la médiation au cours de la période de 90 jours, a indiqué un communiqué du syndicat local 375 du SCFP.

L’Association des employeurs maritimes et le syndicat représentant près de 1 200 travailleurs à quai ont tenté de remplacer la convention collective existante qui a expiré le 31 décembre 2023. La planification du travail, l’automatisation et l’équilibre entre le travail et la vie privée demeurent des questions en suspens.

Le développement d’aujourd’hui fait suite à l’ordonnance du 14 novembre par le Conseil canadien des relations industrielles (CCRI) de reprendre les opérations portuaires et au lancement d’un arbitrage pour conclure un nouveau contrat. Le lock-out a pris fin le 16 novembre.

Le ministre du Travail, Steve MacKinnon, est intervenu dans les différends portuaires de Montréal, de la côte ouest et de Québec en demandant au CCRI un arbitrage exécutoire pour sortir de l’impasse qui prive des milliers d’entreprises et de consommateurs de services portuaires et mine l’économie canadienne.

Les conventions collectives existantes sont prolongées jusqu’à ce que de nouvelles conventions soient conclues.

(Photo du port de Montréal)

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